2883 - Solitudes (2004)
(Pas trop inspiré aujourd'hui... Alors, pour une fois, je vous mets un vieux machin très rigolo et empli d'une indicible préoccupation plus piétonesque que rurale où la maestria vertigineuse des ouvertures sur le monde n'a d'égal que le rythme échevelé des non-dits inquiets qui parsèment l'asphalte d'une rosée de suie aussi pubère qu'un caniveau muet et comme d'habitude ne m'emmerdez pas avec la ponctuation vous savez bien qu'elle ne servirait qu'à détruire les ambitions graphiques de ce texte ô combien utile pour tenter d'expliquer la morne déchéance où je suis quand je me lance dans une argumentation néo-nietszchéenne emprunte d'une aura des villes où les rats déchantent tout en sirotant hagards le fluide dégoulinant d'une musique que tiens je n'ai pas encore mise où donc ai-je la tête j'y vais de ce pas à plus tard merci)
Et voilà :